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Au Sénégal, malgré d’évidents progrès législatifs en matière de parité hommes-femmes, les femmes restent encore minoritaires, voire absentes des instances stratégiques et opérationnelles de gouvernance foncière au niveau communal. Cette situation est pourtant très loin de correspondre à leur contribution effective à la production agricole, notamment les cultures vivrières.
En outre, la reconnaissance légale du principe de participation citoyenne aux affaires publiques ne s’accompagne d’aucun mécanisme opérationnel de participation des communautés « à la base », excluant de fait les couches sociales les plus marginalisées, et notamment les femmes, de la gouvernance foncière.